Palm Beach - Pierre Rey

Publié le par Laurent

Palm Beach - Pierre Rey
 
© Éditions Robert Laffont, S.A., 1979
Best-Sellers Collections dirigé par Jean Rosenthal 
Couverture : Dimitri Selesneff
 
AVERTISSEMENT
Ce roman a pour cadre et pour décor des lieux réels mondialement célèbres.
En revanche, l’histoire qui s’y déroule et les personnages qui la traversent sont purement imaginaires.
 
 
Alan Pope employé de la Hackett Chemical, est licencié.
La banque qui doit lui verser l'indemnité de licenciement, se trompe dans la virgule, Alan se retrouve à la tête d’une petite fortune.
Son collègue de bureau, et néanmoins ami Sammy Bannister, lui dit de rien dire, et de profiter de l’occasion pour vivre comme tout un chacun pourrait le faire avec une somme pareille.
Sammy échafaude un plan, il convainc Allan, de se rendre en France sur la cote d’azur, à Cannes où séjourne Arnold Hackett le boss de la compagnie Hackett Chemical.
Il lui fait louer Yacht, une suite à l’hôtel Majestic là où réside Hackett, Rolls avec chauffeur, et lui fait acheter une garde robe de grand couturier.
« La chance doit nous aider Alan, je fais tout pour te rejoindre » Sammy apaise Alan qui lui, est pas très chaud, pour aller jouer les millionnaires sur la cote d’azur.
Jouer un millionnaire, il faut faire comme eux, mais quelle est la conduite à tenir…
Jolie femmes, cocktails, invitations, sexe, hommes d’affaires machiavéliques, casino du Palm Beach, quel mélange détonant au soleil de la côte d’azur. 
i
Palm Beach évoque pour moi plus qu’un roman.
C’est le premier roman de Pierre Rey que j’ai lu.
Gamin, la couverture me fascinait.
Puis c’était le Palm Beach là où je me baigné.
Palm Beach, est pour moi la piscine où mon oncle nous amène mon frère et moi, la cascade, avec cette eau de mer, qui est pompée plus au large vers les îles de Lérins, c’est aussi ces clubs sandwichs, qui, pour des pré-ados en pleine croissance, il en faut au moins deux pour se caler l’estomac.
Palm Beach, où mon frère Philippe, à donné une correction à un parisien parvenu, qui gueulait comme un cochon que l’on amène à l’abattoir, il fallait voir le spectacle !!! ( histoire de plongeoir et de priorité, histoire d’honneur quand on est enfant, puis il avait traité mon frère de gros !!! et pim pam paff poouum!!! )
 
 
Un roman lu par tous les cannois, en cette période estivale que sont les grandes vacances.
Je suis là en même temps que le carton fait par le roman pour ces vacances d’été.
Quand j’ai demandé si je pouvais le lire, quand les grands auraient fini, on m’a dit : « tu sais l’histoire est plutôt réservée au grande personnes, dans quelques années quand tu seras plus grand ! »
Rien que cela m’a davantage excité à le lire en cachette, mais comme le début de l’histoire se situe aux USA, j’ai très vite abandonné, moi je voulais du Palm Beach.
Pour un enfant de dix ans, je comprend que ce soit trop jeune, car dans tout bon roman de Pierre Rey, il y a des histoires de mœurs assez croustillantes, et dans celui là, le sexe, ne fait pas tord à la règle.
 
 
 
 
 

Publié dans Pierre Rey

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