La Veuve - Pierre Rey

Publié le par Laurent

La Veuve - Pierre Rey
© Éditions Robert Laffont, S.A., 1976
Collections « Best-Sellers »
Couverture : Dimitri Selesneff
 
Avertissement au lecteur
 
Sans être la suite du célèbre Grec, ce roman en est une sorte de prolongement.
Le lecteur y retrouvera donc plusieurs personnages qu'il connaît déjà.
Comme pour le Grec l’auteur a mis en scène, a partir de quelques éléments réels connus du monde entier, des êtres, des situations, des dialogues, etc., qui sont totalement inventés.
Il ne saurait donc être question de voir dans La Veuve une transcription même très partielle de la réalité.
Tout est ici œuvre d’imagination.
 
Résumé dernière de couverture
 
Contraindre un géant de la finance épousé le jour même à demander le divorce pendant sa nuit de noces.
Se laver la tête au caviar, mais nourrir son maître d'hôtel de déchets.
Avaler par mégarde un diamant d'un million de dollars et le perdre en plein ciel.
Découvrir le plaisir en mer Égée, par trente mètres de fond, avec l'amant exécré de sa propre fille.
Devenir malgré soi, dans une valse de pots-de-vin et d'intrigues, le pivot des élections américaines…
Ces aventures peu ordinaires ne pouvaient arriver qu'à un personnage extraordinaire, Peggy Satrapoulos, celle que le monde entier, depuis la mort du Grec, appelle la Veuve - une de ces femmes qui, par leur caractère et leur beauté, fascinent leur siècle.
 
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La suite logique du Grec, où sa Veuve doit convoler en juste noce, mais la bougresse aime autant le sexe que l’argent.
Toujours fauchée, pour elle 100 000 $ US représentent l’argent de poche.
Il faut dire que Le Grec, à toujours su se montrer très généreux avec ses femmes et la gent féminine, oui mais maintenant il est plus là, et que va faire sa veuve.
Car si elle à hérité de ce qui a été prévu lors du contrat de mariage, son train de vie de veuve n’est pas donné.
Passion, trahison, alcool et sexe car la veuve consomme autant qu’une voiture sportive.
De pages en pages on découvre une histoire déjantée.
Il importe de préciser qu’il s’agit d’œuvre de romancier et que les situations décrites, les dialogues, les lieux, les caractères, les réactions et les agissements des personnages principaux ou secondaires sont entièrement imaginaires.
On ne doit pas y voir pour autant ce que l’on appelle un « roman à clés », et moins encore une biographie ou un reportage.
 
Mais pour ceux et celles qui veulent plus de renseignements sur une autre Veuve rendez-vous ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacqueline_Kennedy
 
 
 

 

 

Publié dans Pierre Rey

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